Croire ou ne pas croire au magnétisme
Croire en un dieu, une divinité ou autres
Croire à la vie après la mort
Croire que la vie s'arrête après la mort
Croire à ce que l'on nous dit, aux personnes dites de confiance
Croire dans celui qui fait du bien ou du mal
Où est le bien, où est le mal ?
Croire en qui ?
Qui détient la vérité ?
Croit-on celui qui dit la vérité ?
Ou celui qui fin de le dire, un beau parleur ou un orateur.
Qui a tort, qui a raison, pourquoi accorder plus confiance à l'un plus que l'autre ?
Ai-je tort ou raison, je ne sais pas, j'aime les sujets à réflexion et les sujets qui peuvent fâcher, pour faire voir et surgir une vérité. Tout au moins approfondir, puisque la vérité, elle vient d'ailleurs, mais de qui ?
Ce n'est pas toujours facile d'entendre ou d'être convaincu. Il vaut mieux parfois ignorer cette vérité et se donner bonne conscience.
Avons-nous le meilleur système social en France ?
Pourquoi aurions-nous le meilleur système.
Avec toute la misère que l'on voit, on peut se poser la question, non ?
Nous avons surtout le meilleur système de cotisation (obligatoire, contraint, forcé, à la limite de l'esclavagisme, puisque tu payes même si tu n'as pas de salaire), ce n'est donc pas celui de l'égalité et encore moins de la fraternité. D'autant qu'être riche ne veut pas dire cotiser autant ou également (le système de cotisation n'est pas le même pour tous, selon la forme juridique des ressources, ce sont même les plus petits salaires qui payent le plus).
Aujourd'hui, nous sommes tous d'accord pour avoir la gratuité des soins et le droit à une retraite. Normal et logique.
Mais le cout est-il juste ?
La façon de procéder, de cotiser, de recevoir est-elle juste.
Si elle est aussi juste que le sont les salaires versés, alors elle est injuste.
Pourquoi ce camouflage entre charge patronale et charge salariale qui est dû par l'employé et payé par l'employeur n'est-elle pas plus lisible ?
Ces charges qui pèsent lourd sur le salaire pour l'employeur et qui ont créé finalement du chômage. Donc l'inverse de ce qu'elle doit faire.
Le système social est donc à revoir complètement, d'ailleurs ne vous y fiez pas, c'est en train de se faire, sauf que les cotisations sont toujours dues.
Et vu ce que cela rapporte (environ 1.400 milliards), il ne faut surtout pas toucher au système social, mais diminuer les aides.
27 millions de salariés et 11,26 millions d'indépendants cotisent auprès de l'Urssaf qui reverse à 38 % à la CPAM, 28 % pour la retraite, 9,4 % aux allocations familiales, 7,7 % pour le chômage, 2,6 % pour les accidents et maladies professionnelles, 8% divers (3% dette sociale, 2% pour le transport public, 2% pour la formation, 1% logement)
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