Le changement climatique est constant depuis la nuit des temps.
Il y a eu des époques, des décennies, des siècles de chaud ou de froid.
Les années se suivent, mais ne se ressemblent pas.
Un été chaud, l'autre pluvieux ou nuageux, un automne froid ou ensoleillé, un hiver pluvieux, doux ou froid.
La nature, la faune et la flore s'adaptent à chaque changement naturel. Quitte à ce que de nouvelles espèces disparaissent ou d'autres naissent.
La mer va et vient, c'est un élément naturel, les montagnes grandissent ou s'affaissent comme les falaises de façon naturelle causées par le temps, la pluie et le soleil qui effritent la terre et changent les cotes et la terre.
Aujourd'hui, on en fait tout un monde, ou tout un plat, alors que c'est constant, une fatalité. Que pouvons-nous y faire, Absolument rien, c'est régi par la nature et la nature est plus forte que l'espèce humaine, plus forte que l'Intelligence Artificielle.
C'est à peu près le seul élément ou je pourrais dire "c'est comme ça, on n'y peut rien".
Faire porter la cause et les effets sur la population en la rendant responsable et en l'amendant ou en leur donnant des critères, des restrictions n'avanceront à rien, c'est une aberration.
Bien sûr, cela n'empêche pas d'être correct avec la nature, de consommer correctement, de gérer au mieux ce que l'on sème, d'économiser les ressources naturelles, leur laissant le temps de se reproduire, de moins polluer, etc.
Mais quoi que nous fassions, nous ne sommes pas responsables et la nature reprendra toujours ses droits.
Demain, dans 10 ans, dans un siècle, dans mille ans ou plusieurs millénaires, un jour l'espèce humaine disparaitra ou transmutera. Elle peut disparaitre par l'absurdité humaine et sa méchanceté envers les humains part les guerres, les bombardements ou autres guerres bactériologies créés par l'homme pour leur profit et leur vanité.
Comme elle peut disparaitre par un raz de marrée ou un ouragan ou tout autre évènement naturel et la terre se repeuplera d'une autre espèce d'animal qui sera différente de que nous sommes. (et pourquoi pas la planète des singes)
Si le monde était dominé par la flore, les arbres, ceux-ci ne pourraient plus vivre de la terre dont ils se nourrissent. Selon le temps, la pluie, le soleil, ils se gêneraient les uns les autres, faisant tomber les arbres qui les entourent. S'il n'y avait que des girafes, ceux-ci détruiraient les arbres et n'auraient plus à manger. La même chose, si la terre était peuplée de lions, ils mangeraient tous les autres animaux et finiraient par se manger eux-mêmes, dans le but de vivre. Pas par vanité, hypocrisie ou autres comme l'Homme qui lui ne voit que les intérêts, le profit, l'argent.
L'homme est la seule espèce qui a besoin d'argent pour vivre, manger, avoir un toit.
Ce n'est donc pas la race la plus intelligente, notre façon de penser, de créer, de fabriquer, de soigner devrait nous permettre de vivre plus sereinement, en harmonie avec le reste du monde, comprenant la faune et la flore qui sont indispensables à notre vie.
Or, nous la détruisons plus vite que le changement climatique naturel.
Où se situent le bien et le mal ?
Pour les écologies, les végans, il ne faut pas manger de viandes, pourtant la flore est une espèce vivante même si elle est silencieuse et ne crie ou ne hurle pas.
Une fleur, une tomate, un radis, une pomme de terre, ce sont des vies.
Une fleur a une vie : elle germe, pousse, s'épanouit au soleil, grandie avec la pluie puis fane.
Les animaux tuent pour se nourrir, sans se soucier du mal qu'ils font pour vivre ou survivre, je dirais" de façon naturelle". Ils se nourrissent d'animaux qui eux-mêmes se sont nourris d'une autre espèce et qui s'est également nourri lui aussi d'une autre espèce, ainsi de suite.
C'est ainsi que le monde se gère.
Dans tous les cas, quelque que soit la race (animale, humaine ou végétale), nous ne sommes rien. Notre passage sur terre ne représente rien dans l'échelle du temps. Peu importe que nous soyons centenaires ou pas, riche ou pauvre.
Le monde parfait n'existera donc jamais, le mieux que nous puissions faire c'est vivre en harmonie les uns les autres. À défaut de tous s'aimer, il n'est pas nécessaire d'être méchant envers son prochain.
Aimons-nous vivant (de préférence, inutile d'attendre que la personne soit décédée pour dire que c'était une belle personne), cela veut dire aussi aidons-nous les uns les autres.
C'est ce que je fais par un massage ou un soin.
Et je le fais avec tout l'amour que j'ai en moi, sans jugement, discrimination.
Un jour, je mourrai, un autre prendra ma place, en attendant, ils sont rares les gens comme moi qui font ce que je fais avec mes mains ou mes pensées (sans égo, je ne suis pas dieu).
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